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    soleo

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  • Me voilà de retour après une journée en montagne à faire des raquettes!!


    Verdict :

    • physiquement je suis totalement HS, la moindre montée et c'est l'horreur!
    • socialement : je n'ai parlé à personne puisque je traînais 500m derrières les autres...Ils m'attendaient mais redémarraient juste quand j'arrivais, donc je n'étais jamais avec eux puisqu'ils me distançaient très vite!

    J'ai passé 4h à ruminer, à me dire que je n'allais pas y arriver, que je n'aurais pas du venir....bref que du négatif...


    MAIS : à 1km de la fin environ, ça ne montait plus, j'ai enfin pu profiter du paysage et du grand air. Et là je me suis dit : et ben je l'ai fait quand même, je ne suis pas si nulle que ça et ça fait quand même du bien de sortir un peu et se dépenser en plein air!!

    Bilan : Je me dois de garder en mémoire le fait que j'ai réussi et que si je suis fatiguée ce soir ça ne sera pas pour rien!!

    Même si socialement ça a été très succinct, je vais garder le bon air frais et les paysages enneigés en mémoire!

    raquettes

     


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  • Je viens d'aller voir ce film et ai été agréablement surprise. C'est l'histoire du roi George VI hissé sur le trône d'Angleterre à la place de son frère aîné, avant la guerre de 1939-1945. Il souffre de bégaiement et redoute toutes les situations où il doit parler en public. Pour se soigner, il fait appel à un thérapeute, Lionel Logue, qui va devenir son ami, malgré les réticences initiales.

    Ce film évoque la difficulté d'avoir une différence quand on évolue en société. C'est le combat d'un homme pour réussir à avoir une voix, parler sans avoir peur, ne plus bégayer.

    La relation entre George VI et son thérapeute est forte, une relation de confiance et de partage. Le roi parvient à vaincre son bégaiement après de multiples exercices de chant, de relaxation et de diction, accompagné de Lionel Logue. Il triomphe lors du discours de début de la 2nde guerre mondiale, son premier à la tête du Royaume-Uni.

    D'après une histoire vraie.

    discours roi


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  • Phobie socialePhobie socialePhobie socialePhobie socialePhobie sociale

    Ci-dessous une illusion assez incroyable : le gris des cases A et B est le même!

    illusion

    illusion

    illusion

    illusion

    illusion

    illusion

    illusion

    L'impossible cascade d'Escher

     

     

     

     


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  • L'ennui est un sentiment que je redoute particulièrement. Et pourtant je le connais très souvent. L'ennui est inhérent à ma vie, à moi-même, il fait partie de ma vie et de moi.

    Presque tous les jours, je suis pendant des heures à ne rien faire, parce que je n'ai rien à faire (d'imposé). Si on me donne une occupation, je fais quelque chose et je ne m'ennuie pas. Mais quand on ne me donne rien à faire, je suis complètement désoeuvrée et j'erre comme une âme en peine. Ce sentiment d'ennui m'a toujours habité, depuis le plus jeune âge. Je me rappelle avoir dit à ma mère que je m'ennuyais et sa réponse avait été que je n'avais qu'à me trouver une occupation! Facile à dire, difficile à faire pour moi. Alors elle me donnait des lignes à recopier et moi je ne demandais que ça, qu'on me donne quelque chose à faire! par moi-même je ne trouve pas...je n'y arrive pas.

    Seule devant mon pc, lorsque je ne sais plus quel site visiter, sur quel forum poster, je m'ennuie.

    Dans une conversation, les gens parlent entre eux de sujets qui m'intéressent rarement, alors je m'ennuie.

    Bref, je m'ennuie très très facilement et c'est difficile à vivre. Pourquoi faut-il toujours qu'on me donne quelque chose à faire pour ne pas m'ennuyer? passer l'aspirateur, lancer le lave-linge, faire du repassage. Ca ne me dérange pas de faire ces tâches ménagères si on me le demande, mais seule je n'y pense même pas. Et quand je m'ennuie, je rumine, et mon cerveau part en vrille...

    D'après Wikipédia, "il existe un ennui plus radical : dans ce cas, l’individu s’ennuie lui-même et d'une partie de lui-même. Il a beau être entouré de tous les objets qui habituellement constituaient pour lui les moyens de donner sens à ses activités mais dorénavant ces moyens ne sont plus susceptibles de s’inscrire dans une quelconque temporalité finalisée. L’individu sait pertinemment qu’il retrouvera la temporalité finalisée de ses activités quotidiennes mais il est pourtant submergé par une absence d’appétence dégénérative voire de désespoir qui le rapporte à sa propre temporalité vide. Ce ne sont pas tant les objets qui posent problème plutôt que moi-même confronté à une absence de fin et donc à une absence de signification : je ne suis alors plus rien d’autre que cette « temporalité vide et insensée »" (Blaise Pascal, Les Pensées)

    Je ressens fortement cet ennui intérieur à moi-même, un ennui de ma personne, de celle que je suis par rapport à celle que je voudrais être. Les deux ne correspondent pas, j'aimerais être une autre, une autre qui n'a pas peur, qui est capable, qui sait faire face. Mais l'échec est toujours présent et donne à cette autre que j'aimerais être un caractère inaccessible et irréel. Un but à atteindre? des objectifs? non, je n'arrive plus à me fixer d'objectifs, la vie est à affronter au quotidien, avec toutes ses difficultés. Penser au futur et se donner des objectifs est trop dur.

    Alors je cherche désespérément à défragmenter mon cerveau!

     

    defrag


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